
Avoir, Faire, Etre, et si vous vous interrogiez sur votre centre de gravité ?
Dans nos vies bien remplies,
il nous arrive parfois d’avoir la sensation de courir après le temps,
et ce que nous voulons avoir.
Nous pouvons aussi avoir l’impression
de nous épuiser à faire et refaire,
au risque, peu à peu,
d’oublier d’Etre simplement.
Entre exigences professionnelles, engagements personnels et attentes sociales, il est en effet facile de se perdre en route quand un déséquilibre entre ces trois pôles s'installe.
Pourtant, un chemin existe : c'est celui du recentrage, de l’Être.
Avoir : la quête extérieure
Avoir un lieu de vie confortable, une vie familiale bienveillante et attentive, une situation professionnelle épanouissante, et une situation financière stable.
Avoir du temps, du succès, des projets à venir ....
Dans la sphère personnelle, l’avoir peut être vécu comme un marqueur de sécurité, ou de réussite. Il rassure, il valorise, il matérialise.
Mais à force de courir après ce que l’on souhaite posséder, ou maintenir, on peut se demander si l'on ne prend pas là aussi un risque, soit celui d'oublier de profiter ce qui est déjà là, voire de s'éreinter à vouloir toujours plus, et toujours plus vite.
Faire : la course vers l'efficacité
Faire avancer les dossiers.
Faire progresser les chiffres, les objectifs, les ventes ou les achats.
Faire du quotidien une machine bien huilée qui fonctionne efficacement.
Faire plaisir.
Faire bonne figure.
Faire plus.
Faire mieux
… et pourquoi pas faire bien ?
Dans le monde professionnel ou social, c’est souvent le faire qui règne. On valorise l’action, la performance, la productivité. Et des fois, on s’y perd.
A force de faire, encore et toujours, on peut finir par se couper de soi, et par effet rebond des autres.
Puis le corps parle, la fatigue s’installe, les tensions s’accumulent. On peut être amené.e à s'interroger sur le sens de cette agitation: à quoi bon, pour qui ?, pourquoi ?
Être : la présence retrouvée
Et si, au-delà de ce que nous possédons et de ce que nous accomplissons, il y avait l’Être ?
Non pas une idée abstraite, mais une expérience concrète. Un espace en nous que la méditation vient doucement réveiller.
Un lieu d’équilibre, de sécurité, où rien n’est à prouver, où rien n’est à produire. Un endroit intime où tout est juste, simplement parce qu'il fait partie de notre essence même.
Être, c’est aussi se donner la possibilité de ralentir, de ne plus courir vers l’extérieur, mais de revenir vers soi. C’est un chemin qui se construit lentement, à petites pas, par moments d’écoute attentive.
Mais la bonne nouvelle, c'est qu'une fois qu’on a appris à revenir se positionner à l’intérieur de soi, on peut y revenir à tout moment.
La respiration en est le chemin. Elle est notre porte d’entrée directe vers soi, sans détour ni effort. Chaque souffle nous y ramène.
Être, c’est se recentrer, s’y mettre en sécurité, se nourrir de son propre calme. Le corps devient alors une ancre, un refuge. Un territoire intime à retrouver, à habiter, à aimer, pour faire baisser le stress, la tension. L’Être ne se conjugue pas au passé. Il ne se projette pas dans le futur. Il se vit au présent.
Et c’est là qu’il devient source de… bien-Être. Ce n’est pas un hasard si ces deux mots se croisent.
Le bien-être commence quand on revient à l’Être, un juste équilibre entre le faire et l'avoir.
La sophrologie remet l’Être en position centrale
Avec des outils simples comme la respiration, la pleine conscience, la détente corporelle, et la visualisation, la sophrologie permet et facilite un retour à l’essentiel. Elle ne demande rien d’autre que votre présence. Pas de performance, pas de jugement. Pas de matériel nécessaire non plus pour pratiquer. Juste la possibilité, enfin, d’habiter pleinement votre vie, de l’intérieur.
Et maintenant ?
Vous vous reconnaissez peut-être dans cette tension entre l’avoir, le faire et le besoin d’être ?
➡️ Alors peut-être que c’est le bon moment pour équilibrer votre positionnement
Pas pour faire plus.
Pas pour avoir mieux.
Mais pour être soi.
Parce que
vous n'êtes pas ce que vous possédez.
vous n'êtes pas ce que vous faîtes
“vous êtes”
Et c’est déjà immense.
Bien à vous
Céline Brazillier,
Sophrologue certifiée
Eclatsophrologie